PETER SHUB
L’un des plus grands clowns d’aujourd’hui
A l’affiche du 12ème Festival International du Cirque du Val d’Oise
Avec son chapeau mou, son pantalon tiré vers le haut et son éternel imperméable il est à la fois monsieur tout le monde et un personnage hors du commun
Avec presque rien ce conteur sans paroles arrive avec quelques gestes précis à créer un univers infiniment drôle
Sa folie burlesque nous invite à faire un tour sur sa moto imaginaire, à partager d'étranges rencontres sur les bancs publics ou à se promener avec son chien invisible.
Clown au cirque, acteur au Théâtre, metteur en scène à la télévision PETER SHUB est un artiste aux multiples talents dont le nom s’est notamment illustré au Cirque du Soleil, au Big Apple Circus de New York et au cirque allemand Roncalli
La carrière de PETER SHUB est couronnée de récompenses prestigieuses :Clown d’argent au Festival International du Cirque de Monte-Carlo en 1993, Médaille d’argent au Festival Mondial du Cirque de demain en 1985
« Il est pour moi l’un des meilleurs clowns que j’ai jamais vus » (Rolf Knie)
PETER SHUB s’est rarement produit en France. Il sera à Domont
du 23 au 25 septembre 2011 pour participer au spectacle « Partageons le rêve » dans le cadre du 12ème Festival International du Cirque du Val d’Oise
LE 12ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU CIRQUE DU VAL D’OISE PROMET LE GRAND FRISSON.
« SUPER SILVA » exécutera son périlleux numéro acrobatique à 14 mètres de hauteur
sans aucune protection. Cet incroyable artiste brésilien, de son vrai nom Joao Wellington Da Silva, a marqué les esprits lors du dernier Festival International du Cirque de Monte-Carlo où il a été primé deux fois
Pendant les quelques minutes que dure son exploit « SUPER SILVA » effectue une marche au plafond en glissant les pieds dans des boucles fixées sur une poutre horizontale à la coupole du chapiteau
Il termine son numéro par un saut de trapèze à trapèze rattrapé aux chevilles en se jetant dans le vide…
Aucun acrobate n’avait encore osé le faire !
« J’aime le risque et l’adrénaline qu’il me procure, confie « SUPER SILVA » en ajoutant : « J’avoue que je ne ressens absolument pas la peur. je n’accepterais pas de travailler avec un filet ou une longe »
Supersilva: source photo Cap Domont. Texte : Christian Boner.
